L'amour. Lorsqu'on ouvre un dictionnaire voici la définition qu'elle donne : L’amour est un sentiment envers un être ou une chose qui pousse les personnes qui le ressentent à adopter un comportement, plus ou moins rationnel, les entraînant principalement à rechercher une proximité pouvant être tendre, physique, passionnée, intellectuelle, spirituelle, voire imaginaire, vis-à-vis de l'objet de cet amour. Un tas de connerie pour Cheryl qui n'a jamais compris le sens de cette définition. L'amour pour elle n'était qu'un simple moment de la vie qu'on partage avec un garçon qu'on apprécie un minimum et lorsqu'on sens qu'on ne peut plus se supporter, on se sépare et on recommences à chaque fois que le cœur nous en dit. Il y a aussi l'amour qu'elle a pour les êtres qui lui son chère. Comme par exemple, la personne qu'elle aime le plus ici, son grand-frère. Il lui a fait découvrir un monde tellement merveilleux et la aidée lorsqu'elle avait besoin. Enfin surtout lorsque ses parents n'étaient pas d'accord pour qu'elle fasse de la lutte et encore pire lorsqu'ils l'ont virés de chez eux. Elle ne pouvait compter que sur son soutien et disons qu'elle lui tellement mal cette amour. Elle lui joue des tours pensant que c'est la meilleure solution pour lui faire comprendre qu'elle l'aime, mais elle ne sait pas s'il le voit. Elle aimait aussi sa meilleure amie, Crystal. Cette fille était unique et la comprenait. Elle était en même temps sa confidente, sa soeur et tout les autres mots qui pouvaient la définir aussi particulièrement. Cette fille peut être folle, mais elle était surtout la plus fidèle des amis. Il y avait aussi ses autres amis qui pensaient souvent à elle, lui envoyer des messages rien que pour lui demander si elle allait bien ou venait la voir lorsqu'elle était malade. Elle pouvait toujours compter sur elle, c'était sa le vrai amour-amitié. Mais l'amour, le véritable, celui qui vous rend gaga, qui fait que vous pensez qu'à chaque fois qu'il vous tient la main, vous êtes sur un nuage tout rouge d'amour. Elle avait cru vivre sa une fois, mais sa n'avait pas fonctionner et aujourd'hui elle se retrouvait dans se parking à moitié morte en face d'un homme qu'elle n'arrivait pas à cerné. Il était beau, sa Cheryl ne pouvait pas se mentir, il avait un charme unique, mais il semblait si différent. Il est parfois prétentieux, surtout lorsque Cheryl parlait avec lui, elle trouvait qu'il la prends de haut, se qui l'exaspère et d'ailleurs se qui fait qu'elle fait la même chose. Tout le monde dans cette entreprise, même le président ,lui-même, sait qu'ils ne s'apprécient pas et pourtant ils n'ont jamais pris la peine de faire connaissance. Tout le monde sait que Cheryl aime manger des chewing-gum. C'est un petit détails, mais elle avait une folle envie qu'il le sache aussi. Pourquoi ? Elle n'en avait aucune idée. Elle avait aussi envie de le connaître un peu plus, mais est-ce que lui il en avait envie ? Elle regarda Randy encore avec le visage remplie de larmes. Elle était surprise de voir qu'il ne l'avait pas envoyé balader, qu'il restait à ses côté. Elle en avait vraiment besoin et voulait rester avec lui aussi longtemps que possible. Pourtant , elle se voyait mal lui dire tout se qu'elle pensait. Elle le regarda sans son air de défi qu'elle avait habituellement et se contenta de rester là à le regarder, elle n'avait pas la force d'encore le repousser, surtout qu'elle n'avait vraiment pas envie.
« Fait ce que tu veux ! » lui dit-elle en essayant de rester calme et sans placer un mot plus haut que l'autre.
Lorsque Cheryl se pencha pour attraper ses clefs, le bras de Randy la stoppa. Elle releva son visage vers lui. D'un geste doux, il lui frotta ses larmes des deux mains avec un petit sourire qui n'avait rien d'hypocrite, bien au contraire, il était rassurant pour Cheryl. Elle se laissa faire, elle n'avait aucune envie de le repousser, elle voulait juste savoir se qu'elle ressentait pour lui. De la sympathie tout simplement ? Non, c'était bien au dessus de se sentiment. De l'amour ? Et si peut-être c'était bien cela. Elle resta silencieuse face à se geste. Elle voulait que ses secondes deviennent des heures ou peut-être même une éternité. Elle ferma les yeux au moment où c'est main touchèrent son visage. Pourquoi avait-t-il des mains aussi douce, pourquoi est-ce qu'elle n'avait pas le courage de lui dire se qu'elle ressentait. Lorsqu'il se remit à parler, elle baissa la tête comme une petite fille. Elle se demandait si se n'était pas à cause du coup qu'elle avait reçu qu'elle réagissait comme ça, mais elle essayait juste de se voilé la face, de pensait que tout se qu'elle pensait été faux. Elle le regarda prendre ses clefs à terre et ne pas lui donner. Il comptait surement ne pas lui donner, de toutes façon après la phrase qu'il venait de prononcer, elle en était sûr. Cheryl sentit sa fierté en prendre un coup. Elle ne pouvait rien dire, c'était elle la victime sur se coup-là et donc elle était vu comme faible au yeux du garçon qui la déstabilisée, comment était-ce possible. Elle se mit à sourire et appuya sa tête contre le siège, à quoi bon, Randy était comme elle et lorsqu'il avait aussi une idée en tête, il ne fallait pas tenté de la faire sortir de là. C'était deux têtes de mule, mais est-ce que vous pensez que l'un deux un jour avouera à l'autre ses sentiments ? C'était mal partir
« Si je suis si agaçante … laisse-moi ici toutes seule alors ! » lui répondit-elle d'un ton avec beaucoup de reproche.« Pourquoi est-ce que tu es intervenue … Je pensais que tu ne me supportais pas » lui dit-elle ensuite en baissant la tête sentant ses joues légèrement chauffé et pourtant elle n'avait pas chaud.